Bien vu !Liberté factice, qui tient à un peu de choix, des choix arbitraires, et sans conséquences.
Pour Lije - mais je pense qu'en l’occurrence c'est un mauvais exemple - le thème n'est apparu que très longtemps après avoir commencé le scénario. Pendant toute une période, je n'arrivais pas à mettre le doigt sur ce que contenait le scénario, même si je savais que c'était important pour moi. Et aujourd'hui encore (genre hier soir) je me rends compte que certains éléments sont intimement liés à mon histoire ou à ma personnalité, pas forcément aux aspects les plus glorieux d'ailleurs.Je me suis interrogé sur un thème qui me touchait personnellement, et je crois en avoir trouvé un qui convienne (thème profondément humain et épique, et qui serve mon gameplay). J'ai commencé à écrire un peu dessus, et les idées me sont venues beaucoup plus facilement que je ne l'aurais cru. Je repars donc plus confiant que jamais. :p
Pareil.certains éléments sont intimement liés à mon histoire ou à ma personnalité, pas forcément aux aspects les plus glorieux d'ailleurs.
Ce qui est juste l'une des bases absolues de l'écriture et que dans tous les cas, c'est indispensable d'avoir un thème qui nous touche et que l'on veut aborder, autrement on n'y croira pas et au final, qu'est ce qu'on racontera?Pareil.certains éléments sont intimement liés à mon histoire ou à ma personnalité, pas forcément aux aspects les plus glorieux d'ailleurs.
Un auteur ne raconte forcément ce qu'il a en tête. Il est possible de se mettre dans la peau d'un autre et s'il est bon, bon courage pour trouver la vraie opinion du créateur.chaque choix scénaristique que tu feras ça et là te trahira et révèlera quelque chose sur toi. C'est ça l'écriture, se foutre à poil verbalement, souvent inconsciemment.
Ca te donne pas la raison pour autant. Il doit y avoir mille raisons de faire une histoire sur des papillons.D'une certaine façon c'est la suite logique. Pour qu'un écrivain intelligent lance un sujet, c'est quand même que son thème l'intéresse pour une raison où une autre, qui le touche. Et quand on va aborder ce thème, ça va traduire notre psychée profonde, c'est un fait reconnu, pas une opinion.
Un auteur ne raconte forcément ce qu'il a en tête. Il est possible de se mettre dans la peau d'un autre et s'il est bon, bon courage pour trouver la vraie opinion du créateur.chaque choix scénaristique que tu feras ça et là te trahira et révèlera quelque chose sur toi. C'est ça l'écriture, se foutre à poil verbalement, souvent inconsciemment.
Un jour on m'a dit la plupart de mes personnages principaux se ressemblaient. En général il s'agit de personnes plutôt simples qui ne savent pas trop ce qu'ils font dans l'histoire et se retrouvent embarqués quand même...certains éléments sont intimement liés à mon histoire ou à ma personnalité, pas forcément aux aspects les plus glorieux d'ailleurs.
Ben j'ai surtout l'impression que ton discours évolue au fur et à mesure de tes posts, tu sors des généralités en nous expliquant à Gaetz et moi que "c'est ça l'écriture"/"c'est un fait reconnu"/"rares sont les gens qui..."/"c'est indispensable d'avoir un thème qui nous touche" et parlant de "juste une des bases absolues", puis tu tu rajoutes des exceptions avec "une poignée de gens"... mais bon, c'est ta vie.D'abord j'ai dit que c'est UNE des bases absolues , et si tu as lu mon discours, c'est exactement ce dont je parle.
On dirait que tu lis dans les pensées de Kitase.Pourquoi Kitase voulait tuer aerith? Pour lutter contre le cliché japonais qui rend la mort jamais définitive. Pourquoi c'est Aerith sui sauve le monde à la fin à coup de Lifestream? Parce qu'au fond, il a beau se persuader de ce qu'il raconte, il croit à quelque chose après la mort.
Pour un gateau, il faut de la farine, mais il faut aussi des oeufs, c'est aussi fondamental. En l'occurrence j'ai parlé d'une des bases, je n'ai pas parlé des autres parce que ce n'était pas le sujet. Donc oui, je parle d'une base absolue parmi d'autres, qu'une poignée de gens laisse volontairement sur la touche dans des cas plus spécifiques, car le principe de la spécificité c'est de ne pas avoir forcément besoin de base. Et comme je l'ai dit, le pastiche, qui est un exemple de spécificité, c'est un art extrêmement complexe. Certains auteurs en sont capables, et quand ils y arrivent, tous les experts en lettre se font avoir. Y en a un (dont j'ai oublié le nom, je dormais à moitié ce jour-là en cours) qui a réalisé un petit ouvrage dans lequel il prend la même idée de raconter en une phrase le vent qui souffle dans un arbre, en la répétant un grand nombre de fois, mais en prenant à chaque fois le style brut d'un autre auteur. Et les gens étaient sur le cul parce que en effet, il avait parfaitement saisi ce qui fait l'écriture de Verlaine, l'écriture de Baudelaire, etc. Ça c'est un pastiche, ça c'est une exception. Sauf que pour faire ça, ce mec a été capable de connaitre par coeur la vie de ces auteurs et de reconstituer ce qui liait leur vie à leur écriture.Ben j'ai l'impression que ton discours il évolue au fur et à mesure de tes posts, tu sors des généralités en expliquant que "c'est ça l'écriture"/"c'est un fait reconnu"/"rares sont les gens qui..." et parlant de "juste une des bases absolues", tu rajoutes des exceptions avec "une poignée de gens"... mais bon, c'est ta vie.
Pas vraiment, c'était plus pour lutter contre le cliché du mec qui met toutes ses forces dans un combat final avant de mourir l'esprit en paix après avoir sauvé ses amis, c'est-à-dire le truc qu'on voit venir à 10 km (même combat pour le sacrifice par amour).Pourquoi Kitase voulait tuer aerith? Pour lutter contre le cliché japonais qui rend la mort jamais définitive. Pourquoi c'est Aerith sui sauve le monde à la fin à coup de Lifestream? Parce qu'au fond, il a beau se persuader de ce qu'il raconte, il croit à quelque chose après la mort.
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